L’entité 0247, de Patrick Lee

Entre deux lectures un peu exigeantes, il est bon de s’offrir une pause avec quelque chose de plus léger et d’entraînant. C’est l’objectif que je visais en m’attaquant à L’entité 0247, premier roman de l’américain Patrick Lee et début d’une trilogie. Voyons un peu si le but est atteint.

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Harmonie, de Project Itoh

Au milieu de la tonne d’imaginaire d’origine anglophone et quelques bricoles francophones que je lis, il m’arrive de caser un bouquin venu d’ailleurs. Cet été, le label Eclipse des éditions Panini a ainsi attiré ma curiosité en publiant Harmonie, de Project Itoh. Le mélange de ce pseudonyme curieux avec son titre et l’aspect général de l’ouvrage m’ont convaincu de donner sa chance à cet ouvrage.

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Exultant, de Stephen Baxter

La série des Enfants de la destinée de Stephen Baxter a démarré avec Coalesence, qui alternait entre un récit situé vers la fin de l’empire romain et une intrigue dans un futur proche. Le deuxième volet de cette trilogie, Exultant, va beaucoup plus loin, tant dans l’espace que dans le temps. Continuer la lecture de « Exultant, de Stephen Baxter »

Le complot contre l’Amérique, de Philip Roth

Parmi les sous-genres de la science fiction, il en est un qui m’a toujours particulièrement attiré : l’uchronie. Pour ceux qui ne connaîtrait pas encore le terme, il s’agit simplement de récit dont le cadre historique a connu une variation par rapport au notre. Si l’issue d’une bataille était différente ? Si une invention majeure n’avait pas été découverte ? Si un artiste particulier était mort prématurément ? Et ainsi de suite.

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L’épave perdue, de Chris Wooding

Frey a constitué l’une de mes bonnes surprises de l’automne dernier. Les aventures de l’équipage de la Ketty Jay m’ont particulièrement enthousiasmé et ce fut dont avec plaisir que je me suis attaqué à l’épave perdue, deuxième volume de cette série.

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Brasyl, de Ian McDonald

Pas toujours facile de se distinguer au rayon SF. On peut toujours proposer quelques nouvelles idées, essayer de revenir sur de vieux genres en les dépoussiérant, etc. L’écossais Ian McDonald utilise la technique du cadre exotique pour son roman Brasyl, ainsi que pour quelques-uns de ses livres suivants (Le fleuve des dieux, The dervish house).

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Frey, de Chris Wooding

Les lectures pleines de grandes idées et de concepts intéressants sont l’un des attraits de la SF, mais un peu de détente pure de temps à autre ne fait pas de mal. C’est ce que nous propose Chris Wooding avec Frey, premier roman consacré aux aventures du capitaine du même nom.

Starfish, de Peter Watts

En 2009, Fleuve Noir nous a proposé un nouvel auteur de hard science en la personne de Peter Watts. Son roman Vision aveugle m’avait semblé un peu trop touffu, mais la richesse d’idées qu’il véhiculait m’avait convaincu de continuer à m’intéresser à l’auteur. Cet été, la collection Rendez-vous Ailleurs revient à la charge avec cette fois le premier roman de Watts, Starfish, qui début une trilogie de SF sous-marine. Rappelons en passant que l’intégralité des textes de Peter Watts, dont ce roman, sont disponibles en anglais sur son site sous licence creative commons.

L’Oeil du Temps, de Arthur C. Clarke & Stephen Baxter

Les collaborations entre auteurs ne produisent pas toujours des résultats d’une grande qualité. Le premier livre écrit à quatre mains par Clarke et Baxter, Lumière des jours enfuis, proposait des idées intéressantes mais les personnages étaient inexistants et l’intrigue pas très emballante. Ces deux grands noms de la SF britannique ont remis le couvert avec une trilogie, L’odyssée du temps, dont L’oeil du temps est le premier volume.

La guerre tranquille, de Paul McAuley

Il y a de nombreuses années, j’ai croisé la plume de Paul McAuley au hasard de l’anthologie Faux Rêveur. Sa nouvelle L’histoire en marche m’avait laissé une impression mitigée, étant un texte qui s’inscrivait dans un ensemble plus large et dont le cadre ne m’apparaissait pas clair. La guerre tranquille, roman qui se passe dans la même trame historique, me permet d’explorer un peu plus largement la création de McAuley.