Le mythe de la guerre-éclair, de Karl-Heinz Frieser

Je sais depuis un moment que l’Allemagne ne doit pas ses succès du début de la deuxième guerre mondiale à l’usage d’une formule magique, baptisée Blitzkrieg. Mais j’avais envie de creuser un peu le sujet et c’est justement ce que propose l’ouvrage Le mythe de la guerre-éclair dans lequel Karl-Heinz Frieser s’intéresse en particulier à la campagne du printemps 1940, qui voit la chute de la France.

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Émissaires des morts, d’Adam-Troy Castro

A part pour des livres que j’ai en réserve depuis bien longtemps ou quelques auteurs particuliers que j’ai découvert en français, je lis de plus en plus en anglais les auteurs anglophones. Mais il m’arrive encore de me laisser séduire par la traduction française, surtout si elle s’avère apporter quelques petits plus par rapport à la version d’origine, ce qui est le cas du Émissaires des morts, d’Adam-Troy Castro. Continuer la lecture de « Émissaires des morts, d’Adam-Troy Castro »

The Glorious Cause, de Robert Middlekauff

L’un des livres qui a marqué mon parcours de lecteur de littérature historique fut La guerre de Sécession (Battle Cry of Freedom en anglais) de James McPherson. Un pavé de près de mille pages consacré au conflit qui déchira les États-Unis au 19e siècle. Ce livre a fait une très forte impression chez moi, par sa mise en place du contexte et la multiplicité des angle de vue sur son sujet. J’ai eu par la suite l’envie de trouver un livre équivalent sur un autre événement clé de l’histoire de ce pays : la guerre d’indépendance. Et c’est en anglais que j’ai fini par trouver ce The Glorious Cause écrit par Robert Middlekauff, un ouvrage publié dans la même collection que celui de McPherson. Continuer la lecture de « The Glorious Cause, de Robert Middlekauff »

Le prieuré de l’oranger, de Samantha Shannon

De temps en temps, il y a dans l’imaginaire un ouvrage qui attire beaucoup l’attention, dont tout une partie de lectorat parle voire encense. Si je ne suis pas allergique aux bons conseils de lectures, j’ai cependant une tendance à me méfier un peu de cet effet de masse et parfois ça me rebute carrément. Mais parfois ça titille suffisamment ma curiosité pour que je décide de me lancer moi aussi dans la lecture du livre concerné. C’est ce qui est arrivé avec Le prieuré de l’orange de Samantha Shannon que j’ai lu dans sa version originale.

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Histoire des codes secrets, de Simon Singh

Fouiller dans les profondeurs de sa bibliothèque permet parfois d’en ressortir des ouvrages dont on a un peu oublié l’existence. C’est ainsi que je suis retombé sur Histoire des codes secrets, un ouvrage de Simon Sigh que je n’avais toujours par lu, alors qu’il doit prendre la poussière depuis deux décennies dans mes étagères.

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The Devil you know, de K. J. Parker

J’apprécie énormément K. J. Parker et si j’ai surtout parlé de ses romans, j’ai déjà eu l’occasion d’évoquer l’une de ses novellas, The Last Witness. Je repars donc pour un texte de longueur intermédiaire avec The Devil you know.

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Charlemagne, de Jean Favier

J’aime bien de temps en temps me lancer dans la lecture de gros pavés. Et il n’y a pas que dans la fantasy à la George R. R. Martin ou la SF à la Peter F. Hamilton que l’on trouve facilement ce genre d’ouvrage. Il y a aussi de quoi faire du côté des bouquins historiques. C’est ainsi que je me suis lancé dans une biographie de Charlemagne par Jean Favier, historien de bonne réputation.

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Un souvenir nommé empire, d’Arkady Martine

Bien qu’étant assez focalisé sur mes auteurs favoris, je jette de temps en temps un œil sur les bouquins qui font un peu parler d’eux dans le monde de l’édition anglophone. Et la plupart du temps, les livres en question finissent par sortir de mon esprit. Mais de temps en temps, il y a en a un qui s’accroche un peu. Et quand ce dernier finit par être finaliste de plusieurs prix, remporter le prix Hugo et s’approcher d’une publication française, c’est autant d’incitation à s’y intéresser. Je me suis donc lancer dans A Memory called Empire (Un souvenir nommé empire en VF) d’Arkady Martine.

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Le procès de Nuremberg, d’Annette Wieviorka

Dans les ouvrages historiques, c’est comme dans l’imaginaire : heureusement que je ne lis pas que de gros pavés. Je profite aussi d’ouvrages moins volumineux et moins difficiles à tenir en main. Ce qui n’empêche pas d’aborder des sujets tout aussi sérieux. Comme par exemple avec Le procès de Nuremberg écrit par Annette Wieviorka. Continuer la lecture de « Le procès de Nuremberg, d’Annette Wieviorka »

The Queen of Bedlam, de Robert McCammon

J’ai parfois la chance de voir un livre dépasser mes attentes. C’est ce qui s’était passé avec Speaks the Nightbird de Robert McCammon. L’auteur ayant décidé d’offrir d’autres aventures au protagoniste principal de ce livre, je n’ai pas hésité à lire le volume suivant, intitulé The Queen of Bedlam.

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