Il y a quelques temps, j’ai parlé ici d’un roman de John Barnes, un space opera où il était question de voyage d’une culture planétaire à l’autre. J’avais un autre livre de l’auteur en stock et je me suis décidé à m’en occuper aussi. Cette fois, on est nettement plus proche du présent, puisque le récit se passe en 2028, pour un texte publié en 1994.
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SF
Hier, les oiseaux, de Kate Wilhelm
Si j’ai rentré dans ma bibliothèque nombre de livres parce que j’apprécie l’auteurice, j’aime la série, etc. il y a eu des entrées sous des raisons nettement moins évidente. Ainsi, regardant un jour la liste des romans récompensés par le prix Hugo, je vois passer un titre, Hier, les oiseaux, et une autrice, Kate Wilhelm, dont je n’avais jamais entendu parler. Ceci suffit à me faire acquérir l’ouvrage en question. Avant de l’enterrer dans un coin de ma PAL. Récemment, j’ai enfin réussi à m’en occuper.
Continuer la lecture de « Hier, les oiseaux, de Kate Wilhelm »Infinity’s End, dirigée par Jonathan Strahan
Après Infinitys Wars, j’arrive enfin au septième et dernier volume de la série d’anthologies Infinity Project, dirigée par Jonathan Strahan. Voyons donc ce que l’on trouve dans cet ultime opus.
Continuer la lecture de « Infinity’s End, dirigée par Jonathan Strahan »La Cybériade, de Stanilas Lem
En imaginaire, je lis majoritairement des auteurices anglophones, un peu de francophones et pas grand chose issus d’autres langues. C’est donc toujours un petit événement personnel quand je me lance dans une lecture venant donc d’une autre culture. Cette fois, il s’agit de La Cybériade, un recueil de nouvelles de Stanilas Lem.
Continuer la lecture de « La Cybériade, de Stanilas Lem »Ravenor – Révélations, de Dan Abnett
Ce qu’il y a de bien avec les trilogies, c’est que je peux espérer arriver au bout relativement (parfois très, très relativement) rapidement. Ce sera presque le cas pour la série Ravenor de Dan Abnett, puisque j’aurai réussi à sortir les trois chroniques en moins de deux ans. Un délai assez rapide dans mon cas.
Continuer la lecture de « Ravenor – Révélations, de Dan Abnett »Houston, Houston, me recevez-vous ? de James Tiptree Jr.
La littérature, notamment celle de SF, est pleine de gens écrivant sous pseudonyme, pour diverses raisons. L’une d’elles tient au genre, des auteurices pouvant avoir intérêt à faire usage d’un nom d’un autre genre. C’est le cas de plusieurs autrices de SF qui œuvrèrent sous un pseudonyme masculin. On trouve ainsi Alice Bradley Sheldon, autrice américaine dans les textes les plus reconnus ont été publiés sous le nom de plume de James Tiptree Jr. La collection Une heure-lumière a décidé de rééditer l’un de ses textes. Voyons donc ce que ça donne.
Continuer la lecture de « Houston, Houston, me recevez-vous ? de James Tiptree Jr. »De l’espace et du temps, d’Alastair Reynolds
L’index de ce blog et la vingtaine de titres d’Alastair Reynolds qui y sont listés montrent que j’ai une certaine passion pour cet auteur. Il n’est donc pas surprenant que je continue d’enrichir la liste avec sa plus récente novella traduite chez nous dans la collection Une Heure-Lumière.
Continuer la lecture de « De l’espace et du temps, d’Alastair Reynolds »Un an dans la ville-rue, de Paul Di Filippo
Paul Di Filippo fait partie de ces auteurices de SFF dont je connais le nom depuis longtemps et dont je n’avais pourtant jamais lu un seul texte, à ma connaissance. C’est maintenant chose faite, grâce à une novella de la collection Une Heure-Lumière.
Continuer la lecture de « Un an dans la ville-rue, de Paul Di Filippo »Sweet Harmony, de Claire North
Claire North est une autrice dont j’ai pas mal entendu parlé ces dernières années mais que je n’avais pas encore lu. Le hasard de mes acquisitions dans la collection Une heure-lumière a fait entrer une de ses novella dans ma pile de lecture.
Continuer la lecture de « Sweet Harmony, de Claire North »Connexions, de Michael F. Flynn
Je connais Michael F. Flynn de nom depuis la parution en français de son roman Eifelheim. Un roman que j’ai refusé d’acquérir et de lire à l’époque, en 2008, parce que son éditeur français, Ailleurs & Demain, lui avait assigné une couverture proprement hideuse. Je veux bien faire parfois des efforts, mais quand un éditeur se fiche du monde à ce point, tant pis pour lui. Bref, je n’avais pas eu l’occasion de lire cet auteur. C’est maintenant chose faite avec cette novella de la collection Une heure-lumière.
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