Batman – Last Knight on Earth, de Scott Snyder & Greg Capullo

Lorsqu’en 2011 DC Comics décide de relancer toutes ses séries et de rebooter son multivers complet, la plus prestigieuse série, Batman, arrive entre les mains de Scott Snyder et Greg Capullo qui vont livrer un run qui a su se maintenir dans les meilleurs ventes pendant plus d’un cinquantaine de numéros. La série repart ensuite plus ou moins sur une nouvelle base avec l’événement Rebirth et l’arrivée de Tom King sur le titre. Mais Snyder et Capullo n’ont pas dit leur dernier mot sur l’homme chauve-souris, puisqu’ils reviennent dessus par le biais du Black Label de DC. Voyons ce que tout ça raconte.

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La roue d’Osheim, de Mark Lawrence

J’apprécie toujours de me lancer dans le dernier volume d’une série dont j’ai aimé les romans précédents. Je l’appréhende aussi un peu, par crainte que ce dernier volume ne soit pas à la hauteur du reste. On peut raconter la meilleure histoire du monde, si la fin n’est pas à la hauteur cela peut gâcher toute une partie du plaisir tiré des précédents épisodes. Voyons donc comme cela s’est passé avec La roue d’Osheim, dernier volume de la trilogie de La Reine Rouge de Mark Lawrence. Continuer la lecture de « La roue d’Osheim, de Mark Lawrence »

La clé du menteur, de Mark Lawrence

Mark Lawrence est probablement l’un des auteurs de fantasy qui m’a le plus emballé ces dernières années. J’ai trouvé que sa trilogie de l’Empire brisé gagnait en qualité et en intérêt à chaque nouveau volume et je me suis donc lancé avec enthousiasme dans sa nouvelle série avec Le prince des fous. Ce début de nouvelle série étant bien passé, la lecture du volume suivant, La clé du menteur, était évidente.

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Le prince des fous, de Mark Lawrence

La trilogie de L’empire brisée a été l’une des bonnes surprises fantasy de ces dernières années. L’univers créé par Mark Lawrence ressemblait à un monde de fantasy tout en étant finalement placé quelque part dans notre futur. Comme bien souvent après une première série réussie, l’auteur britannique a décidé de continuer d’explorer sa création, avec une nouvelle trilogie intitulée La Reine Rouge. Voyons ce que donne le premier volume Le prince des fous.

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2087, de David Bry

Lisant essentiellement de la science-fiction d’origine anglophone, les récits post-apocalyptiques auxquels j’ai droit se passent majoritairement aux Etats-Unis. Le dernier roman de David Bry, nommé 2087, fut donc l’occasion de voir à quoi peut ressembler le même genre d’avenir dans un cadre qui m’est nettement plus familier que Manhattan ou Los Angeles : Paris.

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Antiphon, de Ken Scholes

Après deux volumes, Lamentation et Cantique, qui ont bien lancé sa série des Psaumes d’Isaak, l’américain Ken Scholes continue sur sa lancée avec un troisième tome intitulé Antiphon. Est-ce que ce nouvel opus confirme les bonnes impressions des précédents ?

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Lamentation, de Ken Scholes

La fantasy fourmille de poncifs vis à vis desquels il y a plusieurs attitudes pour les dépasser. On peut simplement les contourner et prendre d’autres voies, surprendre le lecteur en sortant des sentiers battus. C’est un peu l’approche que l’on trouve dans la série du Trône de Fer, de George R. R. Martin. Une autre solution consiste au contraire à attaquer le cliché en pleine face, à foncer à travers et le magnifier en allant au-delà. C’est la voie suivie par Brandon Sanderson dans sa belle trilogie Fils-des-Brumes. Enfin il est possible de louvoyer autour des clichés en jouant sur la langue, comme le fait Patrick Rothfuss sur le Nom du Vent. C’est cette dernière approche qu’a choisi l’américain Ken Scholes pour sa série Les psaumes d’Isaak, dont le premier volume s’intitule Lamentation.

Métro 2033, de Dmitry Glukhovsky

Si je carbure essentiellement à l’imaginaire d’origine anglophone il m’arrive quand même de temps en temps de dériver vers d’autres rivages. Cette fois on fait une petite excursion vers la Sainte Russie. La Volga, les grandes steppes, le lointain lac Baikal, l’interminable taïga, Nijny-Novgorod, Vladivostok l’orientale… En fait bernique. Dans Métro 2033 on se promène dans le métro moscovite sous la direction de Dmitry Glukhovsky.

Un cantique pour Leibowitz, de Walter M. Miller Jr.

Après le Double étoile de Heinlein et Des fleurs pour Algernon de Keyes je continue dans la série des vieux machins que je n’avais pas encore pris le temps de lire. Aujourd’hui c’est le tour de Un cantique pour Leibowitz de feu Walter M. Miller Jr.