L. G. M., de Roland C. Wagner

Wagner est l’un des grands noms de la SF française, notamment connu pour sa série des Futurs mystères de Paris. Il n’est pas surprenant qu’un auteur qui aime autant l’humour et la dérision se soit permis de produire une sorte d’hommage à Martiens go home ! de Fredric Brown.

La Vieille Anglaise et le continent, de Jeanne-A Debats

Aujourd’hui on va faire un peu dans la littérature française et s’intéresser à une novella publiée en 2008 par un petit éditeur, Griffe d’encre. Depuis sa parution La Vieille Anglaise et le continent s’est vu attribuer plusieurs prix à commencer par le GPI et le prix Julia Verlanger. Voilà qui a certainement donné un bon coup de pouce à la carrière de Jeanne-A Debats.

Déluge, de Stephen Baxter

Si certains des romans de l’anglais Stephen Baxter peuvent être considérés comme de la hard-science par exemple sa série des Univers multiples dont je parlerai un jour ici, certains de ses ouvrages font partie d’une science-fiction plus « grand public ». Déluge, qui ouvre un dyptique sans titre, en fait partie.

Axis, de Robert Charles Wilson

Parmi les auteurs de science-fiction qui se font remarquer ces dernières années il y a Robert Charles Wilson. S’il n’est pas nouveau dans le domaine, on trouve trace d’une première traduction en France dès 1992 (Vice versa chez J’ai Lu), ce n’est que depuis le début des années 2000 qu’il a véritablement pris sa place dans le paysage de la SF avec les traductions successives de Darwinia, BIOS, Les Chronolithes, Blind Lake et enfin Spin en 2007. Ce dernier roman fut la consécration pour Wilson, lui permettant de remporter toute une kyrielle de prix dont le Hugo et le Grand Prix de l’Imaginaire.

Les envoyés, de Sean Williams & Shane Dix

Voilà un duo d’auteurs australiens pratiquement inconnus en France. Personnellement je ne connaissais Sean Williams et Shane Dix que par trois volumes de la série du Nouvel ordre Jedi, dans la licence Star Wars. Cette fois, avec Les envoyés, premier volume du tryptique des orphelins de la Terre, j’ai l’occasion de lire quelque chose de plus original.

Coalescence, de Stephen Baxter

Stephen Baxter était connu en France depuis quelques années, notamment grâce aux Vaisseaux du temps et à sa trilogie de la Nasa, mais ce n’est qu’avec la traduction de Coalescence, premier volume de la série des Enfants de la Destinée, que le public francophone à enfin pu accéder à son univers des Xeelees (même si une novella avait tout de même été traduite auparavant dans l’anthologie Faux rêveur, ainsi que quelques nouvelles dans des publications éparses).

Les marionnettes de l’ombre, d’Orson Scott Card

La saga des ombres, série parallèle à Ender, se poursuit sous la plume d’Orson Scott Card. Ce troisième volume continue l’affrontement entre Peter Wiggins, secondé par Bean, et Achilles pour le contrôle du monde. Rien que ça.

Le système Valentine, de John Varley

Le système Valentine est le dernier texte publié en France, à ma connaissance, de John Varley. Situé dans le même univers que le canal Ophite et Gens de la Lune, ainsi que les recueils Persistance de la vision et Champagne bleu, ce roman assez conséquent est un véritable hommage au théâtre shakespearien.

La tour de Babylone, de Ted Chiang

De temps en temps on découvre un nouvel auteur plein de promesses. Cette fois c’est Lunes d’encre qui propose un recueil d’un dénommé Ted Chiang : La tour de Babylone. Par la même occasion ça me fait un recueil de nouvelles, moi qui en lit bien trop peu.