Le dernier roman de Stephen Baxter que j’ai lu, Proxima, m’avait bien emballé. Comme souvent avec l’auteur, j’ai fait un voyage que je n’avais pas complètement anticipé et les surprises étaient les bienvenues. De plus, la fin de ce roman ajoutait un mystère supplémentaire qui m’a évidemment incité à lire sans trop tarder le volume suivant : Ultima.
Étiquette : space opera
Plaies d’honneur, de David Weber
Nous voilà arrivé au dixième volume de la série Honor Harrington. En regardant un peu en arrière, je me demande parfois comment j’ai pu arriver si loin tant David Weber cumule les défauts dans les précédents opus. Mais je continue malgré tout et le cap de la dizaine de roman est donc atteint. Voyons si par miracle tout ça gagne un tant soit peu en qualité pour une fois.
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Brass man, de Neal Asher
Tranquillement, je poursuis ma lecture en anglais des romans de Neal Asher dans l’univers du Polity. Après Gridlinked et The Line of Polity, place au troisième volume de la série Agent Cormac : Brass man. Voyons un peu comment se poursuivent les aventures de Ian Cormac, agent du Polity.
La Terre bleue de nos souvenirs, d’Alastair Reynolds
A l’occasion du salon des Imaginales de 2013, j’ai eu la chance de rencontrer Alastair Reynolds. Et j’en ai profité pour acheter ce qui à l’époque était son dernier roman en date, Blue Remembered Earth, premier volume d’une trilogie. Puis le livre va rejoindre ses nombreux camarades non lus dans la bibliothèque. Quelques années plus tard, je réalise que l’ouvrage a été traduit en français, sous le titre La Terre bleue de nos souvenirs, et que le dernier volume de la série ne devrait plus tarder à venir chez nous. Il est donc peut-être temps que je me décide à lire ce livre.
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Les cendres de la victoire, de David Weber
Petit à petit, je m’approche de la dizaine d’épisodes pour la série Honor Harrington. Voyons si ce neuvième opus, intitulé Les cendres de la victoire, parvient à redresser un peu la barre après quelques épisodes où les défauts se faisaient de plus en plus présents.
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Latium 1, de Romain Lucazeau
De temps en temps, un éditeur essaie de faire un effort de promotion pour un ouvrage auquel il tient en particulier ou qui représente un certain défi à vendre. Et parfois, je peux me laisser tenter par la chose, comme ce fut le cas avec ce premier volume de Latium, premier roman de Romain Lucazeau publié dans la collection Lunes d’encre des éditions Denoël.
The Line of Polity, de Neal Asher
J’ai déjà chroniqué deux fois Neal Asher. Une première fois pour une édition en français avec L’écorcheur et une seconde fois avec Gridlinked, le premier de ses romans inédits dans notre langue. Le passage à la langue de Shakespeare s’étant bien passé, j’ai décidé de continuer dans cette voie avec le deuxième roman de l’auteur, The Line of Polity, toujours dans le même univers que les deux titres précédemment chroniqués.
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La disparue de l’Enfer, de David Weber
Cela fait un moment que je n’ai pas parlé de la série Honor Harrington, de David Weber. Nous en sommes rendus au huitième épisode, intitulé La disparue de l’Enfer, toujours coupé en deux volumes, une des grandes joies de l’éditions française. Voyons un peu où en est Harrington qui avait fini le précédent opus, Aux mains de l’ennemi, en assez fâcheuse posture.
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Le voyageur, de James Smythe
On tombe parfois sur des ouvrages un peu curieux, que ce soit dans le thème abordé, le ton ou bien l’emballage. Ainsi Le voyageur de James Smythe se promène sous une couverture qui peut évoquer un film à propos de gens perdus dans l’espace. Voyons un peu s’il s’agit vraiment d’un bouquin parlant de naufragé de l’espace.
Anges déchus, de Richard Morgan
A la relecture, le charme de Carbone modifié de Richard Morgan avait à nouveau opéré. Retrouver Takeshi Kovacs s’était fait sans aucun soucis. Il est donc logique que je poursuive dans cette voie et que je relise aussi Anges déchus, deuxième épisode des aventures de ce croisement de détective et de psychopathe.