Parmi le peu d’auteurs francophones de science-fiction que j’ai lu, il y a Laurent Genefort dont le Points chauds m’a fait forte impression. J’ai aussi eu l’occasion de parler un peu du premier des romans de sa série Omale. Ces lectures étant suffisamment plaisantes, je continue de m’intéresser à l’auteur. Ce qui nous amène à l’un de ses derniers ouvrages en date : Lum’en, publié par Le Bélial.
Catégorie : SF
SF
Empire Games, de Charles Stross
Lorsqu’un auteur termine une série, il n’est pas rare qu’il revienne plus tard faire un tour dans cet univers, parfois même pour toute une nouvelle série. C’est ce qu’a fait Charles Stross avec son univers des Princes Marchands. L’auteur nous propose une nouvelle trilogie dont le premier volume, Empire Games, commence un peu plus de quinze ans après la fin de The Revolution Trade.
Cookie Monster, de Vernor Vinge
Petit à petit, je poursuis mon exploration de la collection Une Heure-Lumière des éditions du Bélial. Après le très bon L’homme qui mit fin à l’histoire de Ken Liu et le très intéressant Cérès et Vesta de Greg Egan, je passe à un auteur que j’apprécie beaucoup : Vernor Vinge. L’éditeur a choisi une novella dont le titre pourrait faire croire à un texte parlant de Sesame Street : Cookie Monster.
L’espace d’un an, de Becky Chambers
S’il y a des livres que je repère immédiatement et que je m’empresse de lire dès leur publication, il en est d’autres pour lesquels ma lecture se fera suite à un conseil, parfois répété. The Long Way to a Small, Angry Planet (L’espace d’un an en français), de Becky Chambers, est dans cette dernière catégorie et suite au conseil vivement réitéré de ma copine j’ai fini par me laisser convaincre de m’y lancer.
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Omale, de Laurent Genefort
Je lis assez peu d’auteurs francophones de science-fiction et ai donc d’autant moins d’occasions d’en dire du bien. J’ai cependant déjà parlé de Laurent Genefort, grand nom du genre, avec le très intéressant Points Chauds. Une partie de son œuvre se concentre sur un endroit particulier : Omale. Voyons ce que raconte le premier roman de cette série.
Le crépuscule des dieux, de Stéphane Przybylski
Début 2015, les éditions du Bélial se sont engagées dans un pari un peu audacieux : la publication d’une tétralogie française, intitulée Origines. Les trois premiers volumes (Le château des millions d’années, Le marteau de Thor, Club Uranium) m’ont bien plu et à l’automne de l’année dernière sortait le volet final, Le crépuscule des dieux. Alors, Stéphane Przybylski a-t-il réussi à maintenir la qualité jusqu’au bout et la fin est-elle à la hauteur de mes attentes ?
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La patrouille du temps, de Poul Anderson
Quand je cherche ma prochaine lecture, je fais parfois le tour du fond de ma bibliothèque et retrouve des livres qui y dormaient depuis des années. C’est ainsi que je suis retombé sur La patrouille du temps, premier volume de la série du même nom de Poul Anderson et classique du voyage temporel.
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La sphère, de Gregory Benford
Gregory Benford fait partie des auteurs dont j’ai lu pas mal d’ouvrages, une dizaine, sans avoir encore eu l’occasion d’en chroniquer un ici. Je vais donc réparer cet impair en commençant par un roman intitulé La sphère, à ne pas confondre avec le roman de Michael Crichton qui porte presque le même titre.
Gradisil, d’Adam Roberts
Il y a des auteurs qui écrivent presque toujours dans le même genre ou le même style et d’autres qui font un peu varier les plaisirs. Adam Roberts ferait plutôt partie de la deuxième catégorie. Je l’ai d’abord connu pour ses parodies de Star Wars et de l’univers de Tolkien. Pourtant, ce britannique écrit aussi de la science-fiction tout à fait sérieuse. C’est donc avec curiosité que j’ai lu Gradisil.
Dans le sillage de Poséidon, d’Alastair Reynolds
Ces derniers temps, j’ai un peu redécouvert le plaisir de ne pas attendre une année voire plus entre la lecture de deux volumes d’une série qui me plaît. J’ai ainsi lu les trois romans de la trilogie Les enfants de Poséidon d’Alastair Reynolds en moins d’un an. La Terre bleue de nos souvenirs et Sous le vent d’acier m’ont montré que Reynolds n’avait rien perdu de son talent. Est-ce que le niveau est maintenu jusqu’à la fin de cette trilogie ? Réponse avec Dans le sillage de Poséidon.
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