Eglise électrique, de Jeff Somers

La science-fiction peut être une littérature d’idée mais elle peut aussi être une littérature d’action. Eglise électrique de l’américain Jeff Somers est clairement plus dans la deuxième catégorie. Ce roman est le premier de ceux mettant en scène le personnage d’Avery Cates, narrateur de ses propres aventures.

Snow Crash/Le samurai virtuel, de Neal Stephenson

La réédition du premier roman de Neal Stephenson traduit en français est un bon prétexte pour relire ce qui fut pour moi le livre de la révélation. C’est en effet par cet ouvrage que j’ai découvert celui que je considère comme le meilleur écrivain que cette Terre ai jamais connu. Rien de moins.

La cité du gouffre, d’Alastair Reynolds

On pourrait croire qu’Alastair Reynolds écrit de la fantasy à voir l’épaisseur des pavés qu’il pond mais il n’en est rien, c’est bien de la SF. Voici donc La cité du gouffre, le deuxième opus de la série des Inhibiteurs. C’est épais, le format est grand et ce n’est pas écrit gros. La première différence notable avec le précédent ouvrage, L’espace de la révélation, est le point de vue adopté, puisque la majeur partie de l’histoire est vécue par le narrateur qui nous raconte ses péripéties. Tanner Mirabel, le narrateur en question, va passer la majeure partie du livre à traquer l’assassin de son ancien patron, ce qui va l’amener de sa terre natale, Sky’s Edge, à Chasm City, la fameuse cité du gouffre sur Yellowstone, permettant ainsi de faire le lien avec le premier volume.
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Black Man, de Richard Morgan

Trois ans. Trois ans que j’attendais un nouveau roman de Richard Morgan. Avec Black Man cette attente est enfin récompensée et bien récompensée.

Avant de s’envoler pour les terres de la fantasy, avec sa trilogie actuellement en cours outre-Manche, Morgan nous revient donc avec un nouveau roman assez proche de sa trilogie Kovacs. On navigue une fois encore dans les eaux du thriller cyberpunk, avec violence, corruption, sexe, argent, pouvoir et compagnie. L’univers dans lequel se passe l’histoire est sensiblement différent de celui de Kovacs et un peu plus proche du notre. Continuer la lecture de « Black Man, de Richard Morgan »