Les Machines sauvages, de Mary Gentle

Déjà le troisième opus du livre de Cendres de Mary Gentle. Jusqu’ici, le cycle s’annonçait très bon, que ce soit dans le premier ou le deuxième volume. Voyons un peu si la qualité se maintient dans les Machines sauvages.

Lamentation, de Ken Scholes

La fantasy fourmille de poncifs vis à vis desquels il y a plusieurs attitudes pour les dépasser. On peut simplement les contourner et prendre d’autres voies, surprendre le lecteur en sortant des sentiers battus. C’est un peu l’approche que l’on trouve dans la série du Trône de Fer, de George R. R. Martin. Une autre solution consiste au contraire à attaquer le cliché en pleine face, à foncer à travers et le magnifier en allant au-delà. C’est la voie suivie par Brandon Sanderson dans sa belle trilogie Fils-des-Brumes. Enfin il est possible de louvoyer autour des clichés en jouant sur la langue, comme le fait Patrick Rothfuss sur le Nom du Vent. C’est cette dernière approche qu’a choisi l’américain Ken Scholes pour sa série Les psaumes d’Isaak, dont le premier volume s’intitule Lamentation.

La puissance de Carthage, de Mary Gentle

Les séries c’est bien de les commencer, mais c’est surtout mieux de les continuer. Ainsi je me suis penché sur le deuxième volume du livre de Cendres de Mary Gentle, intitulé La puissance de Carthage. Le premier volume m’ayant fait bonne impression, c’est avec plaisir que je me suis plongé dans la lecture du suivant.

Le puits de l’ascension, de Brandon Sanderson

Il y a peu je vous parlais de L’empire ultime, premier volume de la trilogie Fils-des-Brûmes du sympathique Brandon Sanderson, surtout célèbre pour la reprise de la Roue du Temps de feu Robert Jordan. Ce bouquin m’avait fait une très bonne impression c’est pourquoi je n’ai guère tarder à m’attaquer au suivant : Le puits de l’ascension.

L’empire ultime, de Brandon Sanderson

Il y a quelques mois je vous parlais du premier roman de Brandon Sanderson, Elantris, qui se trouvait aussi être l’un des premiers livres édités par le label Orbit. Aujourd’hui je reviens sur Sanderson pour le premier volume de sa trilogie Fils-des-Brumes : L’empire ultime, et cette fois on passe aux choses sérieuses.

La salle des ossements, de David Farland

Il y a de cela quelques années Pocket entreprit la traduction de la série Les Seigneurs des Runes de l’américain David Farland (alias Dave Wolverton). La série s’était interrompue après la publication du troisième roman, laissant quelques lecteurs en plan. Après huit ans d’attente la suite, intitulée La salle des ossements, est enfin arrivée sur nos rivages, après une réédition des trois premiers ouvrages en trois tomes au lieu des six précédemment proposés (chaque roman était divisé en deux tomes à la traduction).

Elantris, de Brandon Sanderson

Brandon Sanderson est un jeune auteur de fantasy qui s’est vu confier la tâche de finir la série La Roue du Temps que Robert Jordan ne put terminer avant de nous quitter en 2007. Le nouveau label du groupe Hachette, Orbit, a commencé l’automne dernier en nous proposant le premier roman de Sanderson intitulé Elantris.

La guerrière oubliée, de Mary Gentle

Il a quelques temps de cela (en fait presque un an) Folio a commencé à rééditer le livre de Cendres de Mary Gentle. Une bonne occasion de se mettre à cette série assez conséquente, en commençant par La guerrière oubliée.

Dehors les chiens, les infidèles, de Maïa Mazaurette

Voilà un livre fort bienvenu. Point trop long et tenant tout seul. De plus Dehors les chiens, les infidèles de Maïa Mazaurette parvint à œuvrer dans un registre généralement peu exploité, celui de la fantasy post-apocalyptique.

Le nom du vent, de Patrick Rothfuss

Voilà un ouvrage à propos duquel son éditeur communique depuis des semaines, annonçant Le Livre de l’Année. Le nom du vent, premier volume de la Chronique du tueur de roi, étant précédé d’un bon buzz outre-Atlantique je n’ai guère tardé à m’occuper du roman de Patrick Rothfuss.