GiG, de James Lovegrove

La plupart des livres se résument principalement aux textes, le reste étant finalement assez accessoire. Mais il arrive que le livre soit un véritable objet dont le texte n’est que l’une des facettes, un objet qui vaut aussi par lui-même. La double novella GiG du britannique James Lovegrove en est un bon exemple et nous en devons l’arrivée en France à un éditeur small-press, Griffes d’encre.