Return of the Crimson Guard, de Ian C. Esslemont

En marge du livre malazéen des glorieux défunts de Steven Erikson, j’ai parlé de Night of Knives, « court » roman de Ian C. Esslemont se passant dans le même univers. Et suite à cet ouvrage, l’auteur a signé un accord pour la publication de cinq romans supplémentaires. Mais contrairement au premier qui se plaçait avant le début de la série d’Erikson, ces nouveaux romans s’intercalent en partie dans la série, puis la prolonge. Commençons par Return of the Crimson Guard, dont l’action se situe à peu près entre celle de Reaper’s Gale et de Toll the Hounds.

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La Rose Blanche, de Glen Cook

Après un premier et un deuxième volumes dont la relecture s’était bien passé, il est temps de passé à La Rose Blanche, troisième épisode des annales de la Compagnie Noire. Jusqu’ici, Glen Cook ne m’a pas déçu à la relecture. Voyons un peu comment ce volume se compare à mes souvenirs.

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Une affaire de famille, de Charles Stross

Certains ont peut-être remarqué que je parle régulièrement de la série de la Laverie du britannique Charles Stross. Et si cette série n’a pendant longtemps pas eu de suite en français après la traduction de seulement deux volumes, le projet Exoglyphes a enfin permis de relancer l’affaire. Mais ce n’est pas la seule série de l’auteur à ne connaître qu’une traduction partielle. Les princes marchands compte six romans en anglais, maintenant regroupés en trois volumes, mais seulement quatre ont été traduits chez nous. Cela ne me gêne pas outre mesure et je n’hésiterai pas à poursuivre ma lecture dans une autre langue. Mais voyons d’abord de quoi parle cette série et si son premier volume vaut le détour.

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Terre, de David Brin

Quand j’apprécie un auteur, j’ai tendance à en faire le tour et à lire le plus possible de ses écrits. Mais quand il ne me reste plus grand-chose en stock concernant un auteur qui n’est pas très prolifique, je tends à ralentir la cadence et à attendre avant de me lancer dans l’une de ses dernières œuvres encore inédites pour moi. Ainsi, je garde La sonate hydrogène, dernier volume de la Culture de Iain M. Banks, dans un coin sans jamais arriver à me décider à le lire. L’auteur étant décédé je sais qu’une fois l’ouvrage lu, je n’aurais plus rien d’inédit dans cette série. C’est un peu ce genre de sentiment que je connais vis-à-vis des écrits de David Brin. L’auteur est heureusement toujours de ce monde mais comme il ne me restait que deux ouvrages en français à lire, j’attendais. J’ai fini par franchir le pas pour l’un d’eux, intitulé Terre.

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