Patient Zéro, de Jonathan Maberry

Annoncé comme un croisement entre 24 heures chrono et 28 jours plus tard ce roman de Jonathan Maberry piquait ma curiosité. Patient Zéro est classé comme thriller par son éditeur mais on est tout de même à mi-chemin du fantastique/horreur puisqu’il y est question de mort-vivants.

Les démons de Paris, de Jean-Philippe Depotte

Je lis assez peu d’auteurs français et encore moins de premier roman français. Ce début d’année 2010 m’a donné l’occasion de m’occuper du petit dernier en date de chez Denoël, les démons de Paris de Jean-Philippe Depotte.

13 balles dans la peau, de David Wellington

En ce moment c’est la saison des vampires et autres créatures du même acabit. Sous toutes les formes, des bons, des méchants, des séduisants, des repoussants, etc. Toutes couleurs et tailles disponibles. 13 balles dans la peau de l’américain David Wellington se range clairement dans la catégorie « machine à tuer sanguinolente ».

Douze, de Jasper Kent

Un roman fantastique se passant pendant la campagne de Russie. Il n’en fallut pas plus à l’amateur d’histoire militaire que je suis pour m’intéresser à Douze de Jasper Kent.
La base de l’intrigue est relativement simple. Débordés par la Grande Armée de Napoléon qui s’approche inexorablement de Moscou quelques soldats russes, qui ont pour spécialité de s’occuper des opérations du type espionnage et sabotage, font appel à un groupe de mercenaires venant de Valachie. Ces derniers vont se révéler d’une efficacité peu commune pour ce qui est d’étriper son prochain. Mais cette particularité va rapidement attirer la curiosité puis l’inquiétude des soldats qui les ont engagés.

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Mémoires d’un maître faussaire, de William Heaney

Une fois n’est pas coutume voici des mémoires et pas n’importe lesquelles. William Heaney a deux particularités peu communes. Tout d’abord il passe une part non négligeable de son temps à faire produire de faux livres, délestant des acheteurs un peu trop vénaux d’un argent qu’il reverse à un foyer d’aide aux sans-abris. Attention, on ne parle pas là de faire du faux Da Vinci Code à la photocopieuse. Il s’agit d’art, du genre qui demande beaucoup de travail et une certaine somme de talent pour produire de fausses premières éditions de classique de la littérature.